Visiter le Pays de Bitche: l’univers du cristal et la ligne Maginot

Dans notre dernier article on a partagé avec nous nos meilleurs itinéraires de randonnée à faire dans les Vosges du Nord. On vous rassure tout de suite, dans le pays de Bitche nous n’avons pas fait que randonner et attendre le coucher du soleil au sommet du château de Falkenstein… 😉

Cette escapade dans le nord est de la France aura également été une excellente occasion pour nous de découvrir un peu l’univers des cristalleries et aussi rafraîchir un peu nos connaissances somme tout assez rouillées de l’histoire française avec des visites de forts de la ligne Maginot et de la citadelle de Bitche.

Cristallerie au Pays de Bitche: Meisenthal et Saint Louis

Au Pays de Bitche nous avons passé une journée sous le signe du cristal! Mais histoire de ne pas laisser nos mollets s’endormir on a opté pour une variante un tantinet plus sportive de la classique tournée des cristalleries du nord de la France. #OnNeSeRefaitPas

Randonnée des cristalleries dans les Vosges du Nord

C’est dans le petit village de Meisenthal que nous avons décidé de débuter cette petite rando placée sous le signe de l’artisanat. Durant cette journée nous avions 2 objectifs: visiter le musée de Meisenthal et passer par l’église de Saint-Louis pour voir le reposoir (on y reviendra). Le faire en voiture aurait été une option, mais si vous nous lisez de temps en temps vous aurez surement remarqué que si y a moyen de faire une rando, ben on est toujours au taquet. 😉

On ne va pas vous décrire ici la rando dans le détail, mais comme d’hab vous trouverez un peu plus loin la carte détaillée de notre itinéraire et vous aurez également la possibilité de télécharger directement le fichier GPX pour partir à votre tour sur le sentier des cristalleries. (A nouveau le nom de cet itinéraire n’a rien d’officiel 😉 c’est juste celui qu’on a décidé de lui donner).

Première étape: le reposoir de l’église de Saint-Louis-les-Bitche

C’était le premier arrêt que nous nous étions fixé, et pour le coup pas des moindres!

Le village de Saint-Louis-les-Bitche se trouve à seulement 3km de Meisenthal et c’est donc très rapidement que nous y sommes arrivés. Saint Louis est très connu pour sa cristallerie de luxe, mais si nous sommes venus ici à la base c’était pour aller voir l’impressionnant reposoir en cristal qui était exposé dans l’église de Saint Louis!

Par contre je vous préviens, vous aurez relativement peu de chances de le voir à votre tour, du moins pas avant 2020… En effet, cette impressionnante construction de 6000 pièces de cristal est extrêmement difficile à assembler et n’est exposée ici que 2 semaine tous les 2 ans lors de la Fête-Dieu (les années paires).

Fabriquée il y a plus de 100 ans cette pièce est tout simplement hallucinante! C’était un coup de chance que nous soyons dans la région pile au moment où elle était exposée (du 2 au 17 juin de cette année) et du coup on vous a ramené quelques photos en attendant que vous puissiez aller la voir de vos propres yeux en 2020 🙂

Changement de programme: visite de la cristallerie de Saint-Louis

Après cette découverte nous nous sommes installés sur le banc devant l’église pour un petit pique-nique. Et pile au moment où nous nous apprêtions à nous remettre en route nous avons reçu un mail de Véronique, la directrice du musée de Saint Louis. Elle avait suivi notre rando en live sur instagram et quand elle a vu que nous pique-niquions à 30 mètres de son musée elle nous a spontanément proposé une petite visite. L’univers du luxe ce n’est pas trop notre dada habituellement, mais la gentillesse de son message et surtout sa spontanéité nous a séduit.

Bref on a terminé notre petit saucisson et on est allé à sa rencontre. On vous parlera plus en détails de cette visite un peu plus loin dans cet article.

Mais spoil alert: on était plus que ravi qu’elle nous ait écrit 😉

Retour à Meisenthal par Goetzenbruck

Après cette belle parenthèse chic et sophistiquée au musée de Saint-Louis on s’est remis en route pour la suite de notre rando. Nous avions encore une petite dizaine de kilomètres qui nous attendaient alors il ne fallait clairement pas trop traîner.

Nous aurions pu revenir à Meisenthal par le petit sentier forestier que nous avions pris à l’aller, mais ça aurait de une été un peu court comme rando et de deux nous n’aimons en général pas prendre 2 fois le même chemin… Bref, on a opté pour une version un tantinet plus longue par le village de Goetzenbruck avec un petit crochet par la pierre des 12 apôtres de Meisenthal.

La pierre des 12 apôtres késako? Ehhh bien c’est une excellente question à laquelle nous n’avons pas la réponse…

Également appelé Breitenstein (qui se traduit de l’allemand par pierre large), cette espèce de menhir fait partie des énigmes de la région. A-t’il servi à des sacrifices? Était-ce un monument érigé en l’honneur d’une divinité? Personne ne le sait réellement… Ce qu’on sait c’est qu’au milieu de la forêt il y a un bloc de 4m de grès rouge qui est posé là et que personne ne sait pourquoi. Bref on a été le voir 🙂

Carte de la randonnée des cristallerie et infos pratiques

La Cristallerie Saint Louis: l’excellence à l’état pur

Comme on vous le disait, cette visite n’était initialement pas prévue à notre programme… On se disait que l’univers de Saint-Louis était bien trop luxueux pour nous petits backpackers. Ehhh bien je vais vous dire un truc: on ne remerciera jamais assez Véronique pour son message de dernière minute! Alors certes nous ne sommes pas encore prêts à investir l’équivalent d’un budget mensuel pour un set de verres à vin (ou de chopes de bière) 😉 mais par contre on est reparti totalement ébahi de cette visite!

La maison Saint Louis a été initialement fondée en 1586 sous le nom de verrerie de Müntzthal mais elle a adopté son nom actuel lorsqu’elle a été proclamée “verrerie royale” sous Louis XV en 1767. Nous n’allons pas nous attarder ici sur l’histoire complète du lieu (le musée est très bien fait pour ça) 🙂 mais on va plutôt vous parler de la visite de la manufacture.

A Saint-Louis il est possible de faire un tour guidé des ateliers et comment dire… En ressortant on comprend un peu mieux pourquoi le cristal, et particulièrement celui de Saint-Louis, coûte si cher! Le processus de fabrication est tout simplement un enchaînement de performances dingues réalisées par des artisans hors norme. Les souffleurs, les tailleurs, les graveurs: tous ont un rôle extrêmement important et possèdent un savoir-faire qui est tout bonnement unique.

On ne saurait que vous encourager à venir voir ça de vos propres yeux! Et même si seule une petite partie de la population peut se permettre de mettre 250-600€ pour une flûte à champagne, les 17€ de la visite sont quant à eux carrément abordables et une occasion unique de voir des artistes (pour la plupart Meilleurs ouvriers de France) à l’oeuvre.

Le musée du verre à Meisenthal

Une fois de retour à Meisenthal nous étions pile poil à l’heure pour la dernière visite guidée du musée de Meisenthal. Et là les copains je crois bien que nous avons eu droit à la visite de musée la plus drôle de notre vie.

A Meisenthal la visite commence par un petit film très bien fait qui nous explique un peu la naissance de la fabrication du cristal, les différentes étapes de production mais aussi l’histoire de la verrerie de Meisenthal qui est surtout connue pour ses boules de Noël.

A la sortie du film nous étions attendus par l’un des bénévoles de l’association qui s’occupe de faire les visites. Nous étions une petite dizaine dans notre groupe et je crois bien qu’aucun de nous n’était préparé à ce qui allait se passer. Non pas que l’histoire du verre ne soit pas intéressante, mais je n’aurais sérieusement jamais pensé être aussi captivée par le sujet.

Notre guide du jour (dont nous ignorons malheureusement le nom) était tout simplement fantastique! C’est avec une passion sans limite et un sens de l’humour décapant qu’il nous a guidé durant une bonne heure à travers les différentes techniques et outils de fabrication du verre. Durant cette visite on a bu ses paroles mais on a aussi eu quelques sacrés fou-rires. Si par hasard ce monsieur se reconnait dans ce texte on lui adresse un grand merci et surtout on lui tire notre chapeau pour sa visite!

Le tour se termine par un crochet dans les ateliers où un souffleur fait une démonstration en live de la production d’un vase fleur. C’est hyper impressionnant de voir la dextérité avec laquelle le verrier manie sa tige. Il commence par “cueillir” le verre fondu dans un four chauffé à plus de 1300°C avant d’attaquer le “soufflage” à proprement parlé.

Visites historiques sur la ligne Maginot

Changement radical de décor et d’ambiance… On quitte l’univers du cristal et on part cette fois-ci pour des visites plus historiques le long de la ligne Maginot.

La ligne Maginot? Hmm ce nom nous évoquait vaguement quelque chose en lien avec la seconde guerre, mais on ne vous cachera pas qu’au moment de partir pour ces visites nos connaissances étaient au plus bas… Est-ce parce qu’en Suisse on ne s’étale pas plus que ça sur l’histoire française ou simplement parce que nous n’étions probablement pas les élèves les plus assidus en cours d’histoire… La question reste entière! Mais quoi qu’il en soit cette petite piqûre de rappel historique nous aura fait le plus grand bien.

La ligne Maginot, c’est où c’est quoi?

Si vous êtes des ninjas de l’histoire vous pouvez passer à la section suivante… Mais si comme nous vous êtes un peu dans le flou ce petit paragraphe devrait vous être utile! 😉

Promis je vais faire court, mais en gros la ligne Maginot c’est la ligne de fortification construite entre 1928 et 1940 par la France et qui s’étend du nord-est au sud. L’objectif principal était de monter une barrière de protection contre les allemands et les italiens.

Cette ligne de défense a certes été utilisée durant la seconde guerre mais au final elle n’aura pas permis d’éviter la défaite de la France en 1940. Sur le principe la ligne de défense était plutôt bien pensée, le seul “hic” dans les plans de l’époque c’était probablement le fait de croire que l’ennemi arriverait directement depuis l’Allemagne.

Au nord, à la frontière avec la Belgique, les fortifications étaient moindres car on considérait que les Ardennes représentaient une barrière naturelle… Hmmm je vous le donne dans le mille, c’est bien par là que les allemands sont passés et on du coup réussi à “contourner” cette ligne qui se voulait “incontournable”.

A l’heure actuelle il ne reste que peu d’ouvrages qui sont encore la propriété de l’armée; la grande majorité a été racheté par des communes et des privés et ce sont pour la plupart des associations qui s’occupent de leur restauration et de leur ouverture au public.

Dans la région de Bitche 2 ouvrages sont actuellement ouverts au public et nous sommes partis les visiter!

Le Simserhof

L’ouvrage du Simserhof est l’un des ouvrages d’artillerie les plus importants de la ligne Maginot et il a été transformé en attraction touristique depuis 2002. En tout le Simserhof se compose de 10 “blocs”, 2 blocs dits “arrières” où vivaient les soldats, se trouvait les cuisines et usines électriques et où étaient stockées les munitions ainsi que 8 blocs de combats.

La visite de l’ouvrage débute par un film d’archive d’une quinzaine de minutes projeté sur un écran géant. Il retrace toute la période allant de 1918 à 1940 et donne du coup pas mal d’infos pour comprendre le contexte dans lequel cet ouvrage a été construit. Nos connaissances de cette période étant un peu rouillées (l’école commence à dater), ce petit film était nickel pour nous rafraîchir un peu la mémoire.

Après le film on part pour une visite  dans un chariot filoguidé. Sur le principe on est en général assez allergiques aux petits trains, mais pour le coup on doit reconnaître que ce dernier est vraiment bien fait. Durant toute la visite on avance dans le fort en écoutant le récit d’un soldat imaginaire des années 40 qui nous parle dans un premier temps de la vie dans les casernements.

En seconde partie de visite on “vit” au travers des récits du narrateurs les 50 derniers jours de combat du fort en mai 1940.

Si on a bien aimé le film et même le petit train on ne vous cachera pas que la partie qui nous a le plus séduite c’est la partie “visite à pied”. En compagnie d’un guide on part en petit groupe dans les casernements du fort. Cette partie de la visite est comprise dans le prix mais est “optionnelle”. Perso on vous conseille vraiment de ne pas rater cette partie!

Une visite des blocs de combat (hors du circuit classique)

Lors de notre visite nous avons eu le plaisir d’être accompagnés par Corinne, la directrice des lieux. Du coup elle nous a fait la proposition de nous emmener dans l’un des blocs de combat. Cette section est normalement fermée au public et on était donc ravis de profiter de cette occasion assez unique de voir des parties un peu plus “brutes” de cet impressionnant ouvrage. Une balade à la lueur de nos lampes de poche qui nous a mis des frissons dans le dos… Dans cette section de la visite tout est resté “en l’état” et il n’est d’ailleurs pas prévu que cela change!

Si ces visites hors du circuit classique vous intéressent sachez qu’il est possible de les faire en quelques rares occasions. Pour savoir quand ces visites se font on vous laisse regarder sur la page Facebook du Simserhof! Promis elles valent la peine!

Si vous êtes plutôt intéressés par les extérieurs alors une chouette alternative peut être de faire une visite guidée en plein air.

Cette année une visite est organisée chaque premier dimanche du mois jusqu’à novembre. Cette visite se fait en présence d’un guide et sur réservation!

Prix de cette visite “hors des sentiers battus en extérieur”: 4€. Pour réserver il faut appeler au +33 (0)3 87 96 39 40

Randonnée au Simserhof

Si vous n’êtes pas là l’un des premiers dimanches du mois alors vous pourrez tout de même aller voir les blocs de combat de l’extérieur. Le club vosgien a d’ailleurs balisé un circuit de randonnée de 10km aux abords de l’ouvrage qui permet de voir de près 6 des blocs de combats.

Nous n’avons malheureusement pas eu le temps de faire la randonnée en entier (on avait rencart au fort Casso) mais si vous êtes d’humeur sportive cela peut être un excellent complément à la visite.

Lors de la rando on peut d’une part voir les têtes des tourelles mais aussi les impressionnantes rangées de rails anti char! Pourquoi rails? Ben tout simplement car ce sont des rails de chemin de fer qui ont été “planté” là en 1937 afin de bloquer l’accès des chars.

Pour notre part on a opté pour une version raccourcie et avons garé notre voiture à hauteur de la D85a et sommes partis à pied pour voir les blocs ainsi que les rails. #OptionRapide 😉

Carte de la randonnée:

Visite du Fort Casso (Ouvrage de Rohrbach)

Après le Simserhof nous avons repris la voiture pour une seconde visite de fort: le fort Casso

Un peu comme lors de la visite de Meisenthal cette visite a été encore plus exceptionnelle grâce au guide! Ce jour-là, la visite était donné par Bernard, président de l’association qui gère le fort mais aussi et surtout un passionné incroyable qui bichonne ce lieu comme personne! Car oui, c’est bien Bernard ainsi que les autres membres de l’association qui s’occupent de guider les visites de manière bénévole mais aussi de toute la réhabilitation et la décoration des lieux. Ils flânent dans les brocantes à la recherche de pièces pouvant contribuer à venir compléter un peu plus leur incroyable musée et ne comptent pas leurs heures pour faire tous les travaux nécessaires à remettre ce lieu “au goût d’antan”.

Alors cette visite? Eh bien tout simplement géniale j’ai envie de vous dire! 🙂 Le fort Casso c’est une toute autre approche que le Simserhof. Une visite moins touristique, moins “structurée”, carrément plus “dans le jus”.  Etant donné que ce sont uniquement des bénévoles passionnés d’histoire qui font la visite cette dernière dépendra toujours un peu de l’humeur de celui qui la donne mais également du groupe et de son intérêt. On ne connait pas les autres bénévoles, mais s’ils sont tous dans la même veine que Bernard alors on peut vous garantir que vous ne regretterez en rien votre visite! 🙂

Durant plus de 3 heures nous nous sommes baladés 25 mètres sous terre en écoutant toutes les anecdotes et histoires de notre guide du jour. Le temps a filé sans qu’on s’en rende compte! On visite les casernements, les cuisines et même une usine électriques sous terre. Mais le gros plus de cette visite c’est la partie qui se déroule dans l’un des blocs de combat. Contrairement au Simserhof, les blocs de combat font ici partie intégrante de la visite “classique”.

Avis aux amateurs: durant la visite les visiteurs participent carrément à la mise en batterie d’une tourelle de 135 tonnes. 🙂

La Citadelle de Bitche

Changement de registre (encore une fois) et de guerre! S’il y a encore une visite sur le thème historique qu’on vous recommande dans le pays de Bitche alors cela serait probablement la Citadelle de Bitche.

Pour m’aider un peu dans l’écriture du contexte historique je suis allée faire un tour sur Wikipédia… alors je vous mets la phrase telle quelle et vous en faite ce que vous voulez…

Dès 1170, un Bitis Castrum apparaît dans un document où Frédéric I^er de Lorraine se dénomme lui-même Dominus de Bites, « seigneur de Bitche ».  #OnNeRigolePas #JetaisObligée

Bref trêve de jeux de mots douteux… La citadelle de Bitche a donc été construite un peu plus tard. Une première fois aux alentours de 1680 puis une seconde fois en 1740. Mais ce n’est que durant la guerre franco-allemande de 1870 qu’elle a “réellement” servi à son plein potentiel. La citadelle a résisté à 230 jours d’assauts allemands sous les ordres du commandant Teyssier. La citadelle n’a d’ailleurs jamais “cédé” et n’a été remise aux allemands sur ordre du gouvernement.

Épargnée durant la première guerre mondiale la citadelle a toutefois connus quelques gros dommages lors de la seconde guerre. Ainsi, depuis cette période, elle n’était plus utilisée à des fins militaires.

Au jour d’aujourd’hui la citadelle a été transformée en musée et permet au visiteur d’arpenter les sous-terrains en suivant un parcours cinématographique. Équipé d’écouteurs on avance dans les différentes salles pour suivre différents épisodes d’un film qui retrace le siège à la citadelle durant la guerre de Prusse. Ce film réalisé en 2006 est vraiment bien fait et on est carrément plongé dedans!

Les jardins pour la paix

Si vous venez visiter la citadelle de Bitche alors on vous recommande très fortement de prendre le billet combiné avec les jardins pour la Paix. Ces jardins se trouvent juste en contrebas de la citadelle et sont un lieu vraiment unique en son genre!

L’idée de ces jardins c’est de laisser libre cours à l’imagination des jardiniers au travers d’expositions temporaires qui évoluent au fil des mois. Bref un endroit magnifique, un peu (carrément) décalé qui vaut le coup d’oeil! On avait prévu d’y passer “en vitesse” et on sera resté croché plus d’une heure sur la petite terrasse à siroter un verre avant d’aller voir les jardins.

Pays de Bitche: à une prochaine!

Vous l’aurez compris, le pays de Bitche on en repart sous le charme! Ce petit coin de France tout au Nord Est est un petit paradis pour les amoureux de nature et d’histoire. Le pays de Bitche fait définitivement partie de ces coins où on ne vient pas pour l’ultra connectivité et les soirées mondaines, mais où on profite à 2000% de la nature, où on se cultive un peu et surtout où on se laisse emporter par la gentillesse infinie des bitchois et bitchoises.

On espère que nos 2 articles vous auront donné quelques chouettes idées pour découvrir le coin et on vous souhaite un magnifique séjour dans le beau Bitcherland.

Voyageusement et Bitchement,

Fabienne & Benoit

Note: Notre séjour dans le pays de Bitche a été réalisé en collaboration avec l’office du Tourisme du Pays de Bitche. Nous remercions encore chaleureusement Sophie, Corinne et tout le reste de l’équipe qui nous ont fait confiance et nous ont laissé carte blanche sur ce magnifique projet. L’intégralité du programme ainsi que les choix et réservations d’hébergements ont été fait par nos soins. Si vous voulez en savoir plus sur notre éthique de blogging on vous invite à lire cet article

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